Les Âmes perdues
Saxophoniste parmi les plus demandés de l’Hexagone, Christophe PANZANI (Carla Bley Big Band, Anne Paceo, Hocus Pocus…) sort enfin du rang et signe un premier album constitué par une série de duos enregistrés au domicile de sept pianistes différents.
Sept duos, enregistrés en autant de lieux différents, un peu partout en France, et jusqu’en Allemagne, pour immortaliser une série de compositions originales, inspirées par des lectures et les mythes antiques.
Sept pièces, spécialement imaginées par Christophe PANZANI, pour ceux qui allaient les interpréter, qui s’enchaînent comme une longue suite.
Sept pianistes des plus talentueux, qui apportent leur personnalité et leur toucher, reflet de leur parcours et de leur sensibilité : Yonathan AVISHAI, Edouard FERLET, Laia GENC, Leonardo MONTANA, Tony PAELEMAN, Guillaume PONCELET et Dan TEPFER.
Un « road-album » intime et sensible, en forme d’autoportrait, mélancolique et envoûtant.
Track listing
- Sisyphe (Duet with Edouard Ferlet) 4’24
- Endless Wars (Duet with Leonardo Montana) 5’52
- Die Grünen Bohnen (Duet with Laia Genc) 6’25
- Le Jardin aux sentiers qui bifurquent (Duet with Dan Tepfer) 6’57
- Traduire Eschyle (Duet with Guillaume Poncelet) 5’11
- Étrangement calme (Duet with Tony Paeleman) 5’33
- Le Rêve d’Icare (Duet with Yonathan Avishai) 8’59
Personnel
Christophe Panzani (saxophone ténor, composition)
et, par ordre alphabétique, Yonathan Avishai, Edouard Ferlet, Laia Genc, Leonardo Montana, Tony Paeleman, Guillaume Poncelet et Dan Tepfer (piano).
Illustration de couverture par Ludovic Debeurme.
Regardez la bande-annonce :
La presse en parle :
Les Inrocks :
« Une telle épuration des lignes, tant de délicatesse vivante, touchent à une beauté inouïe. »
Jazz Magazine :
« Un recueil de duos intimistes dont la cohérence témoigne d’une vraie maturité. » CHOC
Citizen jazz :
« Les âmes perdues est à la fois l’expression d’un voyage de nature méditative, d’une réflexion sur le sens de la vie et d’un partage des émotions.« Élu
Dernières nouvelles du jazz :
« Un défilé de moments de grâce absolue. »
TSF Jazz :
« Un disque qui va vers la beauté pure. »
France Culture :
« Un album qui s’écoute comme une errance sensible. »